La nuit était fraiche, et comme souvent dans les ports, une brise gelée courait les ruelles sinueuse qui y menaient.
Un homme enrobé dans sa cape noir arpentait le quartier depuis un petit moment. On pourrait penser que des coupes-gorges ainsi serait évité la nuit, mais c'est à ce moment qu'on y trouvait le plus de monde. La foule se massait dans chaque coin, ou des vendeurs essayait d'épuiser à la hâte leur stocks douteux.
On lui avait demandé d'éliminé un petit groupe de marin qui désiraient prendre les armes et empêcher certains navire de rejoindre le port grâce à une petite embarcation. Des pirates quoi...
Kalahar n'avait rien contre cela, ils faisaient ce qu'ils pouvaient pour vivre, malheureusement pour eux, cela pourrait nuire à l'Amarante...ils ne le savaient surement même pas vu la façon dont ils faisaient les choses.
L'assassin les avaient espionné pendant toute la journée, il avait regardé attentivement leurs habitudes, ainsi que les hommes composants le groupe. La seule chose qui montrait qu'ils n'étaient pas totalement stupide, c'est qu'ils se trouvaient toujours avec d'autre personne, toujours dans la masse.
On avait indiqué à Kalahar que ces pirates en herbes devaient aller se fournir en armement dans une petite boutique situé dans une rue parallèle au port.
Environ trente minutes avant que l'échange ne soit censé se dérouler, l'assassin entra dans cette petite maison qui avait été rebaptisé boutique...enfin plutôt entrepôt. De toute part jonchaient des tas d'armes de manufacture médiocre, elles étaient presque toutes rouillées.
Un petit homme rondouillard était là, attendant le client.
Bonjour jeune homme. Que cherches tu?
On voyait qu'il n'avait pas l'habitude du client, son ton n'était pas assuré.
Et bien je cherche une arme. Mais une arme de bonne manufacture, ce que je ne vois pas ici.
Le marchand poussa un soupir de lassitude.
Et bien si tu as l'argent nécessaire, je dois avoir quelques armes d'excellente facture dans l'arrière boutique.
Kalahar hocha la tête et suivit l'homme qui venait de s'engouffrer dans une salle entre deux piles d'armures trouées.
La porte claqua...puis s'ouvrit à nouveau quelques minutes après, et l'assassin sortit seul de la pièce. Il se plaça derrière le comptoir et attendit.
Un homme enrobé dans sa cape noir arpentait le quartier depuis un petit moment. On pourrait penser que des coupes-gorges ainsi serait évité la nuit, mais c'est à ce moment qu'on y trouvait le plus de monde. La foule se massait dans chaque coin, ou des vendeurs essayait d'épuiser à la hâte leur stocks douteux.
On lui avait demandé d'éliminé un petit groupe de marin qui désiraient prendre les armes et empêcher certains navire de rejoindre le port grâce à une petite embarcation. Des pirates quoi...
Kalahar n'avait rien contre cela, ils faisaient ce qu'ils pouvaient pour vivre, malheureusement pour eux, cela pourrait nuire à l'Amarante...ils ne le savaient surement même pas vu la façon dont ils faisaient les choses.
L'assassin les avaient espionné pendant toute la journée, il avait regardé attentivement leurs habitudes, ainsi que les hommes composants le groupe. La seule chose qui montrait qu'ils n'étaient pas totalement stupide, c'est qu'ils se trouvaient toujours avec d'autre personne, toujours dans la masse.
On avait indiqué à Kalahar que ces pirates en herbes devaient aller se fournir en armement dans une petite boutique situé dans une rue parallèle au port.
Environ trente minutes avant que l'échange ne soit censé se dérouler, l'assassin entra dans cette petite maison qui avait été rebaptisé boutique...enfin plutôt entrepôt. De toute part jonchaient des tas d'armes de manufacture médiocre, elles étaient presque toutes rouillées.
Un petit homme rondouillard était là, attendant le client.
Bonjour jeune homme. Que cherches tu?
On voyait qu'il n'avait pas l'habitude du client, son ton n'était pas assuré.
Et bien je cherche une arme. Mais une arme de bonne manufacture, ce que je ne vois pas ici.
Le marchand poussa un soupir de lassitude.
Et bien si tu as l'argent nécessaire, je dois avoir quelques armes d'excellente facture dans l'arrière boutique.
Kalahar hocha la tête et suivit l'homme qui venait de s'engouffrer dans une salle entre deux piles d'armures trouées.
La porte claqua...puis s'ouvrit à nouveau quelques minutes après, et l'assassin sortit seul de la pièce. Il se plaça derrière le comptoir et attendit.